Un groupe d’experts comprenant des décideurs politiques, des innovateurs, des investisseurs, des entrepreneurs et des géants de la technologie de toute l’Afrique et au-delà ont exprimé leur conviction que l’adoption des technologies de l’information et de la communication (TIC) et l’activation des technologies numériques pouvaient permettre des étapes plus concrètes de collaboration.
«L’Afrique peut actuellement tirer parti de la quatrième révolution industrielle de nombreuses manières, en particulier par le développement des compétences numériques», a déclaré aux délégués Elsie Kanza, responsable Afrique au Forum économique mondial (WEF).
Les rapports officiels indiquent que le secteur des TIC, l’industrie et les gouvernements en Afrique tentent actuellement de libérer leur potentiel pour la prestation de services aux citoyens, l’expérience client et des solutions innovantes, pour une vie meilleure pour tous.
«L’Afrique étant de plus en plus motivée par les services, le continent doit promouvoir les compétences numériques dans le cadre de la transition de sa population d’emplois peu qualifiés et mal rémunérés à des emplois hautement qualifiés et bien rémunérés», a-t-elle déclaré.
Les TIC et les technologies numériques habilitantes ont conduit à la création d’emplois et à l’avancement des soins de santé, de l’éducation, de l’agriculture et du niveau de vie en général dans les sociétés développées, a-t-il déclaré.
L’économie numérique pourrait accélérer les efforts d’intégration panafricains en favorisant la croissance intrarégionale du commerce et de l’emploi et en exploitant le pouvoir de transformation de la technologie pour accroître la productivité dans tous les secteurs, selon les organisateurs.
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La Rédaction
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